Wow ! Parizeau, Duceppe, Lisette, Landry unis pour un candidat du PQ! Ça, c’est du rassemblement !

Voici le texte intégral du texte collectif diffusé aujourd’hui par plusieurs souverainistes influents, au sujet de PKP

Saluons l’engagement politique

par Jacques Parizeau, Lisette Lapointe, Bernard Landry, Gilles Duceppe, Louise Harel, Lise Payette, Viviane Barbot, Gérald Larose, Jean-Paul Lallier, Jean Doré

L’exercice de la démocratie s’incarne dans l’engagement de femmes et d’hommes prêts à consacrer une part de leur vie pour servir l’intérêt public. Souvent ingrate, toujours exigeante, la vie politique rebute nombre de citoyens qui auraient pourtant une contribution de grande valeur à offrir au Québec.

En ce sens, la décision de Pierre-Karl Péladeau de faire le saut en politique envoie un puissant signal à toutes celles et à tous ceux qui hésitent encore à se mettre au service de la démocratie. Il y a là une valeur d’exemple qui inspirera sans aucun doute d’autres vocations.

Toute partisanerie mise à part, nous croyons qu’il faut saluer la décision de l’ancien dirigeant de Québécor, de même que celle de toutes les femmes et de tous les hommes qui font ce choix.

Bien sûr, dans ce cas précis des inquiétudes bien légitimes ont fait surface au sujet de l’indépendance des médias d’information. M.Péladeau a quitté toutes ses fonctions, il s’est engagé à placer ses avoirs dans une fiducie sans droit de regard et à respecter les lignes directrices du code d’éthique de l’Assemblée nationale.

De leur côté, les dirigeants des médias concernés ont réaffirmé leur indépendance vis-à-vis des acteurs politiques. Pour ce qui est des professionnels de l’information, il nous semble que laisser entendre qu’ils ne seraient pas en mesure d’agir en toute objectivité fait peu de cas de leur professionnalisme

Exiger de Pierre-Karl Péladeau qu’il vende ses parts d’une entreprise fondée par son père nous semble excessif, d’autant plus qu’un tel scénario déboucherait sans doute sur la perte de contrôle, par le Québec, d’un fleuron de notre industrie culturelle et par le fait même, du siège social d’une entreprise à l’importance vitale

Tout en demeurant vigilants, nous invitons tout le monde à faire confiance aux institutions et, au lieu de s’attaquer à un homme ayant choisi l’engagement politique, saluons son geste!

31 avis sur « Wow ! Parizeau, Duceppe, Lisette, Landry unis pour un candidat du PQ! Ça, c’est du rassemblement ! »

  1. La situation de l’emploi au Québec
    Au moment d’écrire cet article en Mars 2014, le Québec fait mauvaise figure au niveau de l’emploi. Je ne suis pas une économiste ou une politicienne, je suis une travailleuse qui se pose des questions sur l’économie et l’élection provinciale 2014 au Québec. Je vais essayer de départir les différentes statistiques que j’ai trouvées sur internet et le programme des différents partis politiques. Selon moi, le Parti Québécois et sa chef, Pauline Marois, n’ont pas fait de miracle au niveau de l’emploi depuis 2 ans.
    Selon l’institut de la statistique du Québec le taux de chômage a diminué de 0,2% en 2013 par rapport à 2012. Ce chiffre a besoin d’une bonne analyse pour comprendre si le Québec est en bonne situation économique ou pas. En fait, de comparer année après année est une très mauvaise comparaison. Il faut regarder l’évolution de mois en mois.
    Selon Statistique Canada, le Québec a un taux de chômage supérieur à la moyenne canadienne. Celui du Canada pour Février 2014 est évalué à 7,0% et celui du Québec est à 7,8%. Le taux de chômage est en hausse de 0,3% par rapport à Janvier 2014 alors qu’il était de 7,5%.
    Au chapitre de la création d’emploi le Québec compte pour un emploi sur cinq des nouveaux emplois canadiens. La population du Québec compte pour 23,25% de la population totale du Canada. Il y a un manque à gagner par rapport à la création d’emploi au Québec. Plusieurs secteurs comme la transformation primaire, la foresterie et les mines sont en décroissance au Québec malgré une forte demande mondiale.
    Selon le Parti Québécois, l’emploi est leur obsession. Cependant, selon leur site internet : » Le Parti Québécois n’a présentement pas de postes à combler. ». Plus sérieusement, la feuille de route du gouvernement Marois n’est pas reluisant en matière de création d’emplois. Cependant ils promettent de créé plus 115 000 emplois en 3 ans.
    Le parti libéral du Québec prévoit relancer le Plan Nord et stimuler l’économie avec une création d’emplois bien rémunérés et de qualité dans les régions du Québec. Philippe Couillard prévoit créer 250 000 emplois pour le Québec. Rappelons que le gouvernement de Jean Charest avait ramené le Québec au même niveau que l’Ontario au niveau du chômage et avait créé 400 000 emplois.
    Le parti Québec Solidaire au lieu de promettre de créer de nouveaux emplois pour le Québec, promette de garantir un revenu minimum de 12,500$ par personne. Bravo! Plus d’assistés sociaux en vue.
    Selon moi, il faut faire confiance au Parti Libéral du Québec(PLQ) pour créer des emplois au Québec et supporter les entreprises québécoises dans une économie changeante.

    • bien oui faire confiance aux libéraux elle est bonne celle la depuis l’élection de Couillard le Québec perd de plus en plus d’emplois faire confiance aux voleurs c’est pas croyable lire des âneries semblables

  2. Je ne veux pas de référendum et le PQ n’en tiendra pas car les québécois n’en veulent pas.
    Je veux une Charte et je vote PQ.
    Je veux aussi un Québec entrepreneurial avec PKP comme modèle pour les entreprises et je vote PQ.
    Je ne veux plus de corruption et de collusion et je vote PQ.
    Je veux aussi un gouvernement majoritaire PQ, car je ne veux pas d’une nouvelle campagne électorale dans 18 mois et je veux économiser des millions de $ de dépenses.
    J’ai fait mon choix en utilisant la Boussole électorale sur le site de RDI, un choix raisonné et motivé plutôt qu’un choix émotif. Avec un choix émotif, on a les gouvernements qu’on mérite et on le regrette ensuite et on le critique à plein….!!!

  3. La souveraineté : 7 BONNES raisons de rester dans le CANADA

    1. Un Québec souverain deviendrait du jour au lendemain un pays insolvable. Pourquoi ? Parce que la dette du Québec est la plus importante de toutes les provinces canadiennes et en cas de souveraineté, celle-ci correspondrait à 94% de son produit intérieur brut (PIB), classant ainsi le Québec au 5e rang des pays industrialisés les plus endettés avec la Grèce et l’Islande. De plus, les coûts d’emprunt du Québec augmenteraient de façon dramatique avec la chute de la cote de crédit du Québec rendant ainsi la gestion de cette dette encore plus difficile. Ajoutez à cela un gouffre grandissant de 9 milliards par année en transfert de péréquation et nous avons une nation pauvre avec de la difficulté à rayonner mondialement.
    2. Un Québec sans son Canada représente d’importants défis! Même souverain, les échanges commerciaux avec le reste du Canada demeure inévitables. Serait alors maintenue une situation de dépendance inévitable, allant à l’encontre de la volonté première de souveraineté absolue.
    3. D’un point de vue international, là encore les complications seraient importantes. Le Québec ne pourrait se prévaloir que de très peu de poids politique face aux du Canada, de tels échanges ne pourraient se faire que dans le cadre d’un déséquilibre économique absolu.
    4. Dans le même ordre d’idées, un Québec souverain ne serait pas nécessairement reconnu immédiatement. Effectivement, c’est ce que nous confirme l’administration Clinton, au pouvoir lors du dernier référendum en 1995, dans un article publié récemment dans la Presse : (insérer lien) (http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201403/14/01-4747886-washington-naurait-pas-reconnu-immediatement-un-quebec-independant-en-1995.php)
    5. Le coût d’un référendum est énorme. Le coût d’un référendum inutile est encore plus élevé.
    6. Un référendum gagné par 51 % aura comme effet de diviser la province, ou devrais-je dire, le pays. Construire un nouveau pays avec 49 % de la population en état de mécontentement présente des enjeux sérieux à considérer.
    7. La protection de la langue française ne sera pas plus facile. L’anglais est omniprésent partout dans le monde. Il y a des anglophones au Québec. Et en Ontario. Et partout aux États-Unis…une réalité qui n’est pas prête à disparaître!

  4. La fameuse question référendaire… quoi en penser ?

    Comme vous le savez peut-être déjà, en plus de mon intérêt pour les affaires, je suis également un passionné d’économie et de politique. À l’approche des élections et devant la possibilité qu’un gouvernement péquiste majoritaire en ressorte, plusieurs aspects m’inquiètent. Laissez-moi partager avec vous mon point de vue sur les enjeux principaux de la campagne en espérant faire évoluer le débat et faire réfléchir.

    J’aborderai donc différents thèmes qui me sont chers, soit l’économie, l’identité nationale et l’éducation. Commençons tout de suite avec le point le plus alarmant de la campagne actuelle: la question référendaire.

    Je crois qu’en 2014, le concept de souveraineté est dépassé. Le fédéralisme est le modèle de prédilection pour une société florissante. Il permet de répondre à nos objectifs nationaux et régionaux tout en assurant la coexistence pacifique entre les différents groupes ethniques.

    La souveraineté, un gouffre sans fin

    L’argument principal de la souveraineté est le désir du peuple québécois de prendre sa destinée en mains. Cet argument peut être débattu : en regardant les plus récents sondages, même Montréal, cœur économique du Québec, refuse de se séparer du Canada.

    Si le projet de la souveraineté se réalise, le Québec n’aura d’autre choix que de reconnaître les droits des autres minorités présentes sur son territoire. Ces groupes n’auraient-ils pas logiquement le même droit que la minorité francophone du Canada de se séparer ?

    Les deux tiers du territoire québécois riches en ressources naturelles sont habités par les populations Cris et Inuit qui y résidaient déjà bien avant les peuples Français et Britanniques. Si un peuple pouvait à juste titre réclamer son indépendance, ce serait certainement ces derniers. Alors pourquoi sont-ils si farouchement contre l’indépendance du Québec? Ils craignent pour leurs droits constitutionnels… et avec raison ! Les lois du Parti Québécois démontrent clairement une tendance à diviser les citoyens et à s’en prendre aux droits des minorités. Le chauvinisme ethnique représente des risques énormes pour n’importe quelle société, et il est de notre devoir en tant que peuple de se demander s’il s’agit là du chemin que nous voulons suivre.

    L’argument économique

    Si le Québec se sépare, il est très peu probable que le Québec cède au Canada les territoires riches en ressources naturelles qu’occupent actuellement les Cris et les Inuits. Il s’agit là d’un manque de justice dans le raisonnement souverainiste. Le Québec peut se séparer du Canada, mais les autochtones ne peuvent pas se séparer du Québec? Ils occupent pourtant ce territoire depuis bien plus longtemps!

    De plus, un Québec souverain deviendrait du jour au lendemain un pays insolvable. La dette du Québec est la plus imposante de toutes les provinces canadiennes en s’élevant à plus de 264 milliards de dollars. En calquant la méthode de calcul de l’Organisme de Coopération et de Développement Économique (OCDE), la dette publique d’un Québec souverain correspondrait à 94% de son produit intérieur brut (PIB), le classant ainsi au 5e rang des pays industrialisés les plus endettés avec la Grèce et l’Islande. De plus, les coûts d’emprunt du Québec augmenteraient de façon dramatique avec la chute de la cote de crédit du Québec rendant ainsi la gestion de cette dette encore plus difficile. Rajoutez à cela un gouffre grandissant de 9 milliards par année en transfert de péréquation et nous avons une nation pauvre avec de la difficulté à rayonner mondialement. Notre chère province frapperait un mur et le réveil serait brutal.

    L’argument de la culture

    Bien que les Britanniques aient remporté la bataille des plaines d’Abraham le 13 septembre 1759, les francophones du Québec ont su rayonner et préserver leur langue et leur culture pendant plus de 250 ans à l’intérieur de la fédération canadienne sans même avoir de loi 101 la majorité du temps! Si l’objectif réel est la sauvegarde de la langue française, pourquoi le Québec ne tenterait-il pas plutôt d’entretenir des liens politiques et culturels avec les francophones hors Québec? Dans le reste du Canada, en 2011, le nombre de personnes ayant déclaré le français comme langue maternelle était d’environ 1 067 000 et le chiffre augmente constamment. Cela représente environ 15% des francophones du Québec que nous serions prêts à abandonner. N’y a-t-il pas ici un manque de cohérence?

    Des gens des quatre coins du monde choisissent le Canada comme terre d’accueil. C’est un pays qui gagne à être connu et où il fait bon vivre. C’est notre devoir en tant que Québécois, mais également en tant que Canadiens de réclamer haut et fort notre unicité et de tout faire pour la préserver…

  5. WOW WOW ET REWOW quel appuie , j’espère que les détracteurs de PKP voient L’appuie des grand hommes et grande femmes du QUÉBEC

  6. M Lisée vos réactions suite à l’arrivée de PKP me rassure je vois vois comme PM en raison de vos très grandes capacités de communicateur telles M Lévesque en possédait PKP aura besoin de vous aussi merci d’être là

  7. Si les souverainistes qui ont adhéré à QS et à ON étaient capables de se rassembler autour du PQ, on avancerait pour notre projet de pays! La venue de PKP au PQ est un espoir après bien des années de déprime référendaire, on sent que l’on peut reprendre la discussion. Merci à celui-ci de plonger en politique active, il faut du courage et croire au Québec pour renoncer à la vie confortable et à l’indépendance qu’il avait jusqu’à maintenant.

    • Dommage que certains péquistes ne voient que les solidaires et les onistes diviser selon eux le vote… comme s’il n’y avait pas d’indépendantistes chez les Caquistes voir même chez les Libéraux, comme le révélait pourtant le dernier sondage Le Devoir. En dehors de l’éqlise péquiste point de salut? Belle démocratie et liberté de penser ou de faire de la politique autrement; spécialement quand il est clair, depuis vingt ans que le vote brut péquiste s’effrite comme jamais devant une Berlusconisation et UnionNationalisation galopante du Parti québécois.

  8. REWOW!

    Cet appuis en faveur de monsieur Péladeau sonne comme un crie de ralliement pour tous les souverainistes québécois. Aux « votes » citoyen du Québec! Ensemble nous allons y parvenir. Ensemble nous ferrons le pays du Québec!

    Tous ceux qui se disent souverainiste ne peuvent que se rallier. Ou sont les autres, les Bouchard et compagnie? Ou sont les autres qui, un jour, on crue au pays du Québec?

    J’oserais même dire, ou êtes-vous monsieur François Legault? Votre Parti s’en va vers la déconfiture, pourquoi ne pas vous rallier? Et, ensemble nous pourront assurément faire l’indépendance du Québec.

    J’oserais aussi dire, ou êtes-vous monsieur Khadir et madame David? S’il est vrai que vous êtes de vrais souverainistes, pourquoi ne pas vous rallier? Et, ensemble nous pourront assurément faire l’indépendance du Québec.

    Il en va de la survie de la Nation québécoise!

  9. Revirement inattendu au sein du PQ. Assistons-nous au début d’une ère nouvelle nous ramenant en son sillage une belle palette de personnages colorés au franc parler tel que Messieurs Parizeau, Duceppe, Landry, Doré et j’en passe. Bravo à vous Madame Marois …Le PQ ne peut qu’aller de l’avant selon moi.

  10. Avez-vous remarqué que le sourire de la journaliste Martine Biron d’Ici Radio-Rocanada, faisant la couverture de la campagne de Phlipflop Arthur Porter Couillard, s’est crispé depuis l’annonce de la candidature de PKP ?

  11. PKP, la nouvelle donne politique au Québec!

    Dans cette campagne électorale, il y a maintenant un AVANT PKP et un APRÈS PKP.
    Le PLQ pouvait espérer dominer la « patinoire » de l’économie (« les vraies affaires ») et « compter » amener l’électorat Caquiste parmi leurs « partisans ». Eh bien maintenant, une « zamboni » (PKP) vient refaire complètement la « glace » du thème électoral de l’économie et des « affaires ».

    Encore plus bousculant pour le PLQ, la CAQ, QS et même… pour le PQ (Mme Marois y passera peut-être quelques nuits blanches!), il y a maintenant un AVANT PKP et un APRÈS PKP sur la question référendaire. Tablant sur l’impopularité, voire la peur d’un référendum montrée par les sondages, le PLQ comme la CAQ brandissaient le référendum comme une crise économique annoncée et l’indépendance comme la catastrophe économique indubitable pour le Québec. Brandir un référendum péquiste, c’était donc s’assurer de faire perdre des votes et l’élection aux péquistes sinon de leurs bloquer la route vers un gouvernement majoritaire. Voilà tout à coup un PKP qui se lance en politique avec comme objectif de faire du Québec un pays et d’en assurer AINSI sa prospérité! WOW! Non seulement parler de référendum ne serait plus menaçant pour le PQ mais risquerait au contraire de lui donner la majorité souhaitée. De plus, les sondages qui donnaient un peuple québécois majoritairement contre un référendum et contre la souveraineté sont à refaire complètement. On peut maintenant penser que les prochains coups de sonde montreront une nouvelle tendance plus favorable à la tenue d’un référendum et à l’accession du Québec à la souveraineté.

    OUI, je crois à nouveau, voir un Québec indépendant de mon vivant!

  12. L’arrivée de PKP a littéralement changé la donne sur la suite à donner de cette campagne. Le choix est clair PKP s’engage pour l’indépendance du Québec et rien d’autre. Il faut à tout prix que le PQ soit majoritaire et il faut aller chercher le vote des vrais souverainistes de tous les tiers partis pour atteindre le seuil du 37-38% du vote global et une majorité chez les francophones… il faut revenir sur la question de la Charte qui demeure pour moi un incontournable comme enjeu de société…merci M. Lisée pour votre blogue toujours aussi intéressant.

  13. Enfin les forces réunies pour atteindre un même objectif d’indépendance du Québec dans le respect des rôles de chacun. Bravo ! Une maturité dont nous avions bien besoin de modèle. Encore Bravo et confiance . Souhaitons-nous bonne campagne 2014, en attendant l’aube …
    Bernadette Martin

  14. Je suis péquiste depuis toujours et RIN, bien avant. Toutefois, la venue de cet antisyndicaliste me questionne grandement. Que diraient René Lévesque, Michel Chartrand, et même Monsieur Falardeau? Leurs avis me permettraient peut-être de mieux me positionner sur ce qui est en train de se passer au Québec.

  15. Philippe Couillard, en mettant en doute l’intégrité de PKP, sur la mise en fiducie sans droit de regard de ses avoirs, laisse entendre que lui, n’aurait pas été capable de ne pas intervenir en cachette.

    C’est ce que l’on dit des autres, c’est très souvent ce qui s’applique à soi-même.

    Monsieur Couillard, n’a pas permis à sa députée, madame Fatima Houda-Pépin, le droit de faire valoir son point de vue sur la pénétration de l’intégrisme religieux au Québec, au sein du caucus. A partir de cet exemple, Couillard pense que tout le monde est comme lui, qu’il utilise son poste pour intimider.

    Je ne crois pas que PKP soit de cette culture. L’ensemble de ses médias continueront d’être critique peu importe le parti, le ministre ou le député.

    Si on est capable de déceler que la famille Desmarais intervient dans ses éditoriaux, les Québécois seront tout aussi intelligent pour voir si PKP intervient dans le travail de ses journalistes syndiqués.

  16. Les partis politiques sont frustrés de ne pas avoir été aussi vite que Pauline Marois d’avoir recruté PKP …………………………jalousie?

  17. Jattendait ce moment depuis longtemps. Un independantiste pur independant de fortune qui peut boucher le trou de tous les petits arrivistes petit pain qui rabaissent le Quebec constamment.

  18. Ça fait longtemps que le Parti québécois n’a pas connu un tel électro-choc. Il faut saluer le courage de monsieur Péladeau de faire ainsi le saut alors qu’il aurait pu laisser border. Il faut saluer aussi la détermination de madame Marois qui a su trouver les mots pour le convaincre de faire le pas. C’est un choix qui déstabilise entièrement les autres partis politiques et les commentateurs qui ne savent pas par quel bout prendre ce fait nouveau. Un gros bravo pour nous!

  19. Vraiment j’ai le coeur touché en plein dans le mille! De voir ce soutien, cette complicité et oui évidemment, un superbe rassemblement de personnes très crédible et ayant travaillé si durement tout au long de leur vie! Vous me voyez fière d’être québécoise et c’est un exemple honorable qui n’a pas de prix, car les québécois et québécoises doivent en faire autant! Il faut arrêter l’individualisme, trop dommageable! Toutes mes félicitations à M. Péladeau, vous avez ma confiance et j’espère que vous servirez non seulement St-Jérôme mais beaucoup plus avec le temps! 🙂 (Mais pas complètement à droite, hein!) 😉

  20. Wow quel envol empreint d’un réalisme renversant! Bravo aux mentors et influents de notre époque, je suis emballée par ce revirement de situation. Enfin il était temps. Merci d’être la !

  21. C’est drôle, enfin, la plupart des souverainistes pensent d’abord et seulement à leur propre église. Dans ce cas, ils n’auront jamais un pays. Il faut du terrain pour bâtir. Les pays les plus démocratiques possèdent, et c’est heureux, des partis de toutes obédience. Mais il faut d’abord un pays. Que Québec solidaire cesse de se dire souverainiste, sa religion passe avant la nation. Ils n’auront rien

  22. Très heureuse de ce qui se passe dans le moment au niveau du PQ,… J’ai une grande estime pour M. Péladeau et il sait quoi faire. il n’est pas née de la dernière pluie !!!!!

  23. WOW ! Je suis surprise d’un tel appui. C’est ça un PQ rassembleur. Merci à vous tous.

  24. Je suis fière en tant que québécoise d’appuyer la candidature de monsieur Pierre K Peladeau.

    • TRÈS BIEN DIT, JE SUIS PARFAITEMENT D’ACCORD AVEC VOUS excusez les majuscules

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