Ces derniers jours, Ossama Ben Laden a dénoncé l’inaction des pays industrialisés face aux changements climatiques. Des commentateurs de droite ont sauté sur l’occasion pour dénoncer la nouvelle union entre le chef terroriste et les écologistes. Dans le Telegraph de Londres, par exemple, le chroniqueur conservateur James Delingpole se demande en souriant si Ossama ne veut pas remplacer le chef du GIEC, le comité international de scientifique sur le climat, dont la réputation a été entachée ces derniers mois.
Les écolos la trouvent moins drôle, tel ce blogueur du site ROOTS qui estime que l’objectif de Ben Laden est de «diviser encore plus profondément les Américains entre ceux qui veulent agir contre les changements climatiques et ceux qui s’y refusent.»
Sur la photo, on voit d’ailleurs l’écolo américain (avec le chapeau) tenter de mettre de la distance entre lui et son nouvel allié :