Entendons-nous bien. Peut-être Jean Charest a-t-il eu tort de s’engager auprès du maire Régis Labeaume à sécuriser, par voie législative, l’entente avec Quebecor avant la fin de la session parlementaire.
Peut-être. Mais il est Premier ministre, engagé jusqu’au cou dans ce projet, et il a donné sa parole. Nous savions, depuis mardi et la brévissime conférence de presse du maire Labeaume, que la parole n’allait pas être tenue. Nous pensions que M. Charest avait du faire face à de fortes résistances des membres de son caucus.