La chose est paradoxale. Le critique libéral Sam Hamad se plaint que j’écris trop, sur ce blogue et au NY Times. Je le conçois fort bien, car il est très rarement d’accord avec mes écrits.
Mais dans un communiqué publié ce 13 janvier, il me pose des questions. Que faire sinon lui répondre ? J’espère qu’il ne le prendra pas mal.