Indépendance et PQ: Petit cours d’autodéfense intellectuelle

Chacun a droit à sa propre opinion. C’est entendu. Mais chacun n’a pas le droit à ses propres faits. Dans le débat qui s’ouvre sur l’avenir du Parti québécois et de l’indépendance, rien ne me semble plus utile que de faire la guerre aux clichés et aux fausses perceptions, qui,  malheureusement, semblent dominer le discours.

Unité des indépendantistes: la leçon venue du Sud

Quel est le coût de la division des indépendantistes et des progressistes ? Il tient en un mot : le pouvoir. Se diviser, c’est laisser le pouvoir à ceux qui ne veulent ni l’indépendance, ni le virage vert, ni la lutte aux inégalités sociales, ni la véritable défense du français, ni la chasse aux paradis fiscaux. Toutes choses qui, pourtant, nous unissent.

On comprend mal comment le nouveau chemin de Catherine Fournier peut conduire à des victoires.

VERS DES VICTOIRES !

Du 5 au 7 octobre, vous avez un rôle à jouer pour l’avenir de notre parti et du Québec. Celui de choisir le chef d’un des plus grands partis de l’histoire du Québec. Du parti qui a permis les plus grandes avancées linguistiques, sociales et économiques de notre nation. Du parti qui veut donner aux Québécoises et aux Québécois les moyens de faire encore mieux : l’indépendance.

Huit propositions pour oser réussir la Métropole

Proposition #22 du candidat Jean-François Lisée

Deux constats s’imposent. D’abord, la Métropole québécoise est sortie de l’une de ses plus grandes crises politiques, notamment grâce à l’action vigoureuse du gouvernement Marois pour assainir les contrats publics, appuyer l’UPAC dans ses enquêtes et ses arrestations, réformer le financement électoral municipal, puis accompagner Montréal et Laval dans des temps difficiles, maintenant révolus.