Il y a quelque chose de noble dans l’entreprise de réparation historique en cours, au Québec, au Canada et en Occident. Oser affronter les côtés sombres de son passé. Admettre que son histoire n’est pas qu’une épopée des plus brillants exploits. Nommer les discriminations, les spoliations, les internements. Sauf, évidemment, pour les parias.
(Ce texte a d’abord été publié dans Le Devoir.)