Canada Day: les racines pourries du 1er juillet

Fidèle aux traditions, je republie ce billet, d’abord écrit en 2010, chaque 1er juillet depuis. Il est un des plus populaires de ce blogue.

Je l’ai un peu modifié pour mieux expliquer aux plus jeunes l’ampleur de la menace que faisait peser l’église catholique sur ceux qui oseraient voter contre le parti pro-canadien.


Pour tout étranger établi au Québec, l’étonnement est annuel. La Fête nationale du Québec, le 24 juin, est un événement majeur.

Fragilité canadienne

Avez-vous vu le chef conservateur, Erin  O’Toole, faire son jogging plus tôt cette semaine ? Il portait un t-shirt rouge portant les mots : « Believe in Canada ». Croyez au Canada.

Le slogan est extrêmement signifiant. S’il faut appeler les citoyens à croire en leur pays, c’est qu’un déclin de la foi nationale est suffisamment préoccupant pour qu’on veuille y remédier.

(Ce texte a d’abord été publié dans Le Devoir.)

1er juillet: Pourquoi la fête est-elle si triste ?

Canada_Quebec_flag-150x150Pour tout étranger établi au Québec, l’étonnement est annuel. La Fête nationale du Québec, le 24 juin, est un événement majeur.

La Fête du Canada, le premier juillet, est largement ignorée. Comment a-t-on pu en arriver à cette situation, impensable dans toute nation normalement constituée (je pèse mes mots) ?