Arabes à l’érable. C’était le titre. Pendant les années 1970, les chocs pétroliers provoqués par l’augmentation massive des prix par les producteurs, principalement arabes, se traduisaient en Occident par des pénuries d’essence et de longues files d’attente aux stations-service. L’imagination de mes 17 ans en avait tiré une version québécoise. Dans cet univers, le sirop d’érable était devenu une denrée extrêmement convoitée, presque addictive. Mais voilà qu’un insecte jamais répertorié auparavant ravageait les érablières de l’Ontario et du Nord-Est américain.
En énergie, le Québec tombe pile
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