3/3 Des propositions pour l’indépendance: tenter de s’entendre avec Ottawa sur le processus référendaire

(Ce billet est tiré de la conclusion de « Le Journal de Lisée » en librairie le 31 octobre.)

L’idée indépendantiste ne change pas. Il s’agit d’assumer sa liberté de choix. Mais les contours ont varié, de 1967 à 1980 à 1995. En 2015, il faudra s’entendre sur les réponses à donner sur la nature de l’indépendance, sur les liens avec le Canada, la politique de défense, etc.

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2/3 Des propositions pour l’indépendance: la défense d’un Québec souverain

(Ce billet est adapté de la conclusion de « Le Journal de Lisée » en librairie le 31 octobre.)

L’idée indépendantiste ne change pas. Il s’agit d’assumer sa liberté de choix. Mais les contours ont varié, de 1967 à 1980 à 1995. En 2015, il faudra s’entendre sur les réponses à donner sur la nature de l’indépendance, sur les liens avec le Canada, la politique de défense, etc.

1/3 Des propositions pour l’indépendance: monnaie et citoyenneté québécoises

(Ce billet est tiré de la conclusion de « Le Journal de Lisée » en librairie le 31 octobre.)

L’idée indépendantiste ne change pas. Il s’agit d’assumer sa liberté de choix. Mais les contours ont varié, de la fondation du parti en1967 aux référendums de 1980 et de 1995. En 2015, il faudra s’entendre sur les réponses à donner sur la nature de l’indépendance, sur les liens avec le Canada, la politique de défense, etc.

Transfuges: une modeste proposition

chaiseIl y a beaucoup de circulation, ces jours-ci, dans les corridors qui séparent généralement les caucus des partis. Une néo démocrate chez les libéraux, des péquistes chez les caquistes, des indépendants, un nouveau parti d’un membre…

Plusieurs propositions sont avancées pour interdire ce genre de changement de cap qui bafouent la volonté populaire, en obligeant par exemple la tenue d’élections partielles. Je les trouve excessives.

Climat: Une proposition canadienne brise l’impasse sur Kyoto

5818173-150x150Les délégués internationaux réunis à Durban ont offert une rare ovation debout à la délégation canadienne, dont le plan de sauvetage de la planète venait d’être adoptée à l’unanimité par les délégués.

Empruntant, en matinée, un ton écologiste, le directeur de la délégation du gouvernement Harper a admis que le climat de la planète ne pouvait tout simplement pas absorber longtemps les émissions actuelles, et en croissance, de CO2 et qu’un geste dramatique devait être posé.