Carambolage de métaphores au sujet de Jean Charest

« Jean Charest doit maintenant remonter la pente à contre-courant, le vent dans le visage. »

Déclaration de Christian Bourque, de Léger mise-en-marché, expliquant hier à TVA que seulement 17 % des Québécois croient en la version de Jean Charest, contre 63 % pour Marc Bellemare. (Sur un libellé de question favorable au premier ministre, soit dit en passant, ce qui est pire.)

Donc, il y a la pente. Il y a un courant, donc de l’eau qui descend. Des rapides, quoi ! M. Charest remonte. On pense tout de suite saumon.

Autrement dit, pour s’en sortir, Jean Charest ne doit pas marcher sur les eaux, mais sauter sur les eaux…