Power, l’ambassadeur US, Sophie Durocher et moi

desmarais-sarkozy-photo1-150x150Plus tôt cette semaine, j’ai failli écrire sur le câble diplomatique envoyé à Washington par l’ambassadeur américain au sujet de l’influence des Desmarais sur Jean Charest.

J’aurais écrit que ce câble n’était pas très flatteur pour… l’ambassade américaine. En effet, au sujet des liens entre Desmarais, les sables bitumineux et Jean Charest, l’ambassadeur David Jacobson et son personnel — y compris une petite antenne de la CIA à Ottawa dont il faut faire semblant qu’elle n’existe pas — n’ont pas réussi à dégoter une seule information qui n’était déjà publiée dans le Journal de Montréal et reprise sur ce blogue.

Je remercie l’académie et, euh, PKP ?

20090330-videotron_027_800pxL’Association québécoise des éditeurs de magazine remettait ce mardi ses prix annuels. Votre blogueur favori est honoré d’avoir été choisi comme lauréat dans la catégorie « Chronique d’humeur, billet, analyse, opinion, essai et blogue ».

C’était la première fois que des billets de blogue étaient admis dans cette catégorie et je me vois dans l’obligation de remercier Pierre Karl Péladeau pour m’avoir donné une riche matière pour les billets qui ont été primés par le jury:

Tout ce que vous ne vouliez pas savoir à mon sujet

4cd19ceb9f9c6_smallLa revue Urbania a eu la drôle d’idée de m’envoyer une version un peu modifiée du questionnaire de Proust.

Modifiée car l’auteur-aux-très-très-longues-digressions n’avait pas prévu l’irruption des blogueurs.

Sous le titre Winston Churchill, Tueur en série et Calendrier Maya, ils me font dire toutes sortes de choses….

C’est pourquoi j’en fait aujourd’hui mon « Gag de 15h15″…

Bouchard/Sirois: anecdote

Bon, chers internautes, parce que vous êtes gentils, nombreux et fidèles, que c’est vendredi après midi et qu’il neige, et puisque Lucien Bouchard et Charles Sirois étaient tous deux dans l’œil de la caméra cette semaine, je vous offre une petite anecdote.

En 1999, alors au zénith du monde des affaires québécois, Charles Sirois publie un ouvrage, Passage obligé : passeport pour l’ère nouvelle, sur sa vision de la gestion des affaires et de la nouvelle économie. Il en envoie une copie au premier ministre Bouchard, et, quelque temps après, lui demande un rendez-vous.