L’image de 15h15: Une solution pour mettre le CHUM à flot

Un hôpital qui peut traiter 1000 patients à la fois, avec 80 lits de soins intensifs, 12 salles d’opération. Il est déjà construit. Il flotte. Il pourrait s’amarrer au vieux port à quelques centaines de mètres du lieu prévu pour la construction du futur CHUM.

C’est le USNS Comfort, un navire de la marine américain en partance pour Haïti. Il s’agit d’un ancien super pétrolier transformé en hôpital. Il pourra donc traiter 200 patients de plus que le CHUM. Vrai, les chambres ne sont pas individuelles.

Monsieur Bolduc ! Achetez-le ! (Mais, seulement après que sa mission haïtienne sera complétée.)

comfort

 

 

 

Source: USNS Comfort

(PS: compte tenu de quelques-uns des commentaires reçus, je tiens à spécifier qu’il  s’agit d’une blague, comme le sont toujours les images de 15h15. Soupirs !)

Ce contenu a été publié dans Le gag de 15h15 par Jean-François Lisée. Mettez-le en favori avec son permalien.

À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !