Que la vraie Sarah Palin se lève !

Game-Change-Poster-1Vous vous ennuyiez de Sarah Palin ? Il n’y a plus de raison de l’ignorer.

D’abord, elle vient d’annoncer qu’elle ne ferme pas la porte à devenir la candidate républicaine en novembre, si la course actuelle entre Romney et Santorum est tellement serrée que la convention veut se tourner vers un candidat de rechange !!! (Pas de fausse joie: c’est mathématiquement impossible)

Ensuite, elle affirme ne pas fermer la porte à une candidature présidentielle en 2016 !! (Ce qui suppose qu’Obama serait réélu cette année).

Finalement, ce samedi, HBO présentera le film Game Change, où Julianne Moore incarne la Sarah Palin de la campagne de 2008.  Le film est basé sur le livre éponyme, écrit par Mark Halperin de Time et John Heilemann du New York Magazine.

On y voit Palin au bord de la crise de nerf pendant la campagne de 2008. Une version que l’ex-gouverneur n’apprécie pas du tout !

Voici d’abord la bande annonce de HBO, suivie de la contre-bande annonce de SarahPac, l’organisation de Palin.

Cette vidéo n’existe plus

Ce contenu a été publié dans Présidentielle USA 2012 par Jean-François Lisée. Mettez-le en favori avec son permalien.

À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !