Second lancement régional de Jean-François Lisée en Mauricie

Trois-Rivières, le 14 juin 2016 – C’est en Mauricie que s’est arrêté aujourd’hui le candidat à la direction du Parti Québécois, Jean-François Lisée, pour procéder à un deuxième lancement régional, à Trois-Rivieres cette fois. Celui qui est maintenant en deuxième position dans les in- tentions de vote des sympathisants péquistes, profitera de cet arrêt pour présenter une nouvelle série d’appuis de personnalités indépendantistes de la région.

  • Noëlla Champagne, députée du Parti Québécois de Champlain, 2003 à 2014 Yves Beaumier, ministre des Affaires sociales, ministre délégué à la Politique familiale, député du Parti Québécois de Champlain de 1981 à 1985 et de 1994 à 2003
  • Paule Brunelle, députée du Bloc Québécois de Trois-Rivières, 2004 à 2011 Yves Rocheleau, député du Bloc Québécois de Trois-Rivières,1993 à 2004 Marcel Gagnon, député du Parti Quebecois de Champlain
  • André Valois, candidat du B.Q. de Trois-Rivières, 2015
  • Yves Saint- Pierre, exécutif national, candidat PQ Trois-rivières, 2008 (absent de l’événement)

En plus de ces derniers, différentes personnalités indépendantistes de la Mauricie étaient pré- sentes pour témoigner leur appui :

  • Chantale Trottier présidente du MNQ, 2002 à 2013, lauréate 2016 de la mé- daille du Mouvement national des Québécoises et Québécois
  • Ghislaine Fiset présidente du Parti Québécois de Champlain

En plus du pragmatisme de la démarche proposée par le candidat, c’est l’audace et le franc- parler qui semblent être décisifs pour ces nombreux appuis. Le prochain chef du Parti Québé- cois est le seul en mesure de nous mener vers notre plus grand rêve, l’indépendance, ont d’ailleurs souligné les personnalités présentes.

Alors que les appuis spontanés, le financement ainsi que les signatures sont au rendez-vous, le candidat ne se formalise pas de l’ordre de dépôt de ses collègues également sur les rangs dans cette course qui se termine dans plus de trois mois. Comme mon collègue le répète si souvent, trois mois, c’est une éternité en politique, nous avons les signatures, nous avons le financement pour nous lancer officiellement, ma priorité à moi, c’est de venir vous rencontrer et de partager mes idées! » a lancé un Jean-François Lisée plus galvanisé que jamais devant la cinquantaine de militants participants à un diner en son honneur.

Tel que tous le mentionnaient déjà lors du premier lancement régional, à Sherbrooke, il se passe clairement quelque chose dans la campagne de M. Lisée, dorénavant second derrière celui qui avait terminé deuxième dans la précédente course à la chefferie du Parti Québécois.

C’est avec son humour décapant qu’il a charmé les militants présents à l’activité organisée spontanément par les militants des différentes instances péquistes et bloquistes de la région.

Chasser les Libéraux. Faire l’indépendance. Dans cet ordre. 

Lors d’une allocution particulièrement passionnée, le candidat a rappelé qu’il était le seul à avoir fait autant de propositions concrètes liées à l’amélioration des conditions de vie de tous les Québécois dans l’optique d’un Québec pays.

Ce que nous construisons aujourd’hui, c’est bien plus qu’une course à la chefferie, nous met- tons de l’avant les bases de notre pays, nous mettons de l’avant les valeurs qui nous sont chères, et soyez assurés, je vous ai entendu, un pays, ça ne se construit pas seul, et j’ai bien l’intention de le faire avec vous tous mais aussi avec tous les Québécois et toutes les Québé- coises, a conclu M. Lisée.

Une mobilisation unique et enthousiasmante 

L’ampleur de la mobilisation autour de la candidature de Jean-François Lisée ne cesse de croître depuis l’annonce de sa candidature. Après l’Estrie et la Mauricie, des équipes s’orga- nisent partout au Québec pour participer activement à la campagne. Le seul candidat à procé- der à des lancements régionaux, en plus d’un grand lancement national, s’est dit profondément ému par l’enthousiasme contagieux des militants qu’il rencontre partout au Québec ainsi que par les nombreux nouveaux appuis qui s’accumulent quotidiennement.

Rappelons que le premier lancement régional, en Estrie, à Sherbrooke le 4 juin dernier, avait été l’occasion de dévoiler des appuis de personnalités phares du mouvement indépendantiste telles que :

  • Marc Bouliane, ministre de la Condition féminine et député de Frontenac pour le Parti Québécois de 1998 à 2003 et député du Bloc Québécois de Mégantic-L’Érable ;
  • Serge Cardin, député de Sherbrooke de Bloc Québécois de 1998 à 2011 et pour le Parti Québécois de 2012 à 2014 ;
  • François Beaulne, député de Bertrand de 1988 à 1994 et de Marguerite-d’Youville de 1994 à 2003, représentant parlementaire des Nations Unies au Cambodge depuis 2005.
  • Juliette Jalbert, candidate du Parti Québécois dans Frontenac ;
  • Caroline Bouchard, candidate du Bloc Québécois dans Sherbrooke et Presidente du Bloc Québécois de Sherbrooke ;
  • Patrick Melchior candidat du Bloc Québécois dans Brome-Missisquoi ;
  • Olivier Nolin candidat du Bloc Québécois dans Richmond.

Jean-François Lisée a déjà annoncé la tenue de son grand lancement national dans sa ville natale de Thetford Mines, le 26 juin prochain. Toutes les informations sur la course à la chefferie de Jean-François Lisée, ainsi que les nombreuses propositions rendues publiques depuis le début de la campagne, sont disponibles au www.jflisee.org.

 

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À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !