Mario Bertrand, le nouveau conseiller spécial de François Legault, est un être fascinant. Un opérateur. Quelqu’un qui sait obtenir des résultats. Avec lui, l’ère du professionnalisme fait son entrée à la tête de la CAQ.
Premier exemple, il déclare à La Presse que s’il était arrivé avant, les sorties du jeunes Rebello auraient été moins brouillonnes. Sa déclaration sur le fait qu’une victoire de la CAQ augmenterait les chances de voir le Québec devenir souverain, est, dit Bertrand «une erreur de parcours qui aurait mérité un certain cadrage».