Peut-être mes attentes étaient-elles trop élevées. Il y avait Scorcese à la barre. Il y avait de Niro, un géant. Surtout Pacino, que j’ai toujours adoré. On allait nous raconter une histoire qui balaierait plusieurs décennies et s’étalerait sur 3h30 de cinéma. Pour moi, c’était très attractif.
Mon point de repère était à l’avenant. Le Parrain et ses suites, oui. Aussi Il était une fois en Amérique, de Leone, également de 221 minutes. J’ai écouté The Irishman jusqu’au bout. Ce n’est pas inintéressant. Grâce aux efforts de la technologie, de Niro est rajeuni pendant une partie du film. Ça marche.