Les jeunes Ouïghours savaient exactement quoi faire. Sur le chemin de campagne qui mène à leur village, lorsqu’ils ont vu s’approcher un couple de jeunes citadins, de l’ethnie majoritaire Han, sac au dos, ils leur ont souri et ont lancé « J’adore la Chine » et surtout « J’adore Xi Jinping » ! C’était le bon réflexe. Ils n’avaient peut-être pas pleinement conscience du génocide culturel dont leur ethnie, musulmane, est victime depuis le début du siècle, mais ils avaient manifestement été bien renseignés sur l’obséquiosité indispensable à leur survie.
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