Tenez vous bien, pour ce premier billet de campagne, j’innove. Je vais remercier deux fois le chef du camp adverse: Jean Charest. Puis, je vais prendre un engagement, en exclusivité pour vous, chers internautes.
D’abord Charest. Vous avez peut-être lu dans les gazettes et sur les internets que je suis très monté contre le cynisme ambiant. J’estime qu’une réélection de Jean Charest serait le comble du cynisme et plongerait le Québec encore davantage dans le cynisme pour quatre longues années.