Je ne suis pas de ceux qui reprochent à Jacques Duchesneau d’avoir choisi de parler, ce dimanche soir, devant quelque deux millions de Québécois.
Sans en connaître les détails, on décode qu’il existe un rapport de force entre Duchesneau et le gouvernement Charest. Le simple dédain avec lequel le Premier ministre a, dans un premier temps, accueilli le rapport en est le plus fort témoignage.