Prix du groupe le plus prometteur: les jeunes députés péquistes

parizeauOn commence à peine à s’en rendre compte. Et il a fallu que l’aîné, fort du recul de l’âge, en fasse la remarque, pour que l’évidence devienne visible.

Des les premières pages de son livre Pour un Québec souverain, Jacques Parizeau écrit:

 

 

 

Quant à l’idée que l’indépendance du Québec est celle d’une génération et qu’elle disparaîtra avec elle, notons que des 51 députés actuels du Parti québécois, 34, donc les deux tiers, ont été élus pour la première fois soit en 2007, soit en 2008.

Octobre 70: la grande peur de la jeunesse

Au cœur de l’argumentaire du pouvoir, en Octobre 1970, on trouve la jeunesse. Personne, à Ottawa, Québec ou Montréal, ne pense que le Front de libération du Québec, qui détient alors deux otages, puisse traduire son discours révolutionnaire en réelle tentative de prise du pouvoir. En réelle insurrection.

Or il faut pouvoir affirmer qu’existe au Québec, à ce moment, un état « d’insurrection appréhendée» pour invoquer la Loi sur les mesures de guerre qui donne aux policiers le droit d’arrêter et de perquisitionner sans mandats, puis de détenir des citoyens pendant 90 jours.

La saga des centres jeunesse et un forum sur l’autisme décevant- La Semaine du Député de Rosemont

Ouf ! Ce fut toute une semaine pour votre député. Mais je pense que ça en valait la peine. Voyez plutôt:

Ressources intermédiaires: 2500 personnes à risque de perdre leur hébergement 

Le plan Barrette face aux jeunes en détresse ? Couper de 20 millions !

Chaque jour, au Québec, 227 signalements sont faits à la direction de la protection de la jeunesse, 227 enfants potentiellement à risque de négligence, de maltraitance, de violence. Le nombre de signalements augmente chaque année.

Quelle est la réponse du gouvernement libéral? Est-ce de soutenir les intervenants de la DPJ dont la charge de travail augmente? Non. La réponse libérale est de réduire de 20 millions de dollars le budget. Jamais la DPJ n’avait subi une coupure aussi importante.