Jean Charest déclenche un Festival de l’humour… noir

Magie du web: cette parodie de la blague du Premier ministre a été mise en ligne tôt ce matin, par des gens (le comédien François Robitaille-Morin et l’auteur/monteur Claudy-Marc Moreau Duvivier) qui avaient aussi écouté l’émission Enquête de jeudi dernier et en font un savoureux amalgame.

Le trait d’humour de Jean Charest suscite d’autres vannes, comme celle de mon ami Facebook Robert. B:

Une fois c’est un gars qui disait qu’il avait les deux mains sur le volant…

Notre drôle de Premier ministre

Un fois c’est un gars, comprends-tu?, qui voulait gagner une élection. Pis des fois, ce gars-là, vois-tu?, y faisait des blagues même sans s’en rendre compte. Une fois, y’a pas longtemps, y’a dit: « Il y aura des élections quand ce sera dans l’intérêt des Québécois ». C’était drôle, mais personne a ri. Parce que tout le monde sait qu’y’aura des élections juste quand ça sera dans l’intérêt du gars, comprends-tu ?

Monsieur le Premier ministre: Arrêtez les matraques !

Monsieur le Premier ministre,

Je sais que nous divergeons d’opinion sur un grand nombre de sujets. Mais je vous écris, après avoir écouté les journaux télévisés de jeudi soir, pour vous implorer de mettre immédiatement un terme aux affrontements qui ont cours entre les policiers et une partie de la jeunesse du Québec.

Vidéo: l’emmerdeur et les contributeurs du PLQ

Les sources libérales sont formelles: tout le tapage fait par Marc Bellemarre (que ce blogueur appelle affectueusement l’emmerdeur, en souvenir de Jacques Brel dans le film du même nom) autour du financement du PLQ fait littéralement fuir les contributeurs du parti. Ils ne veulent plus être vus donnant des sous, signant un chèque, participant à un cocktail, serrant la main à un libéral.

Bellemare-Charest : pourquoi je ne les crois pas !

194874-jean-charest-tenu-point-presse-150x150Nous avions tout faux. C’est ce que je tire comme conclusion des premiers jours d’audience de la Commission Bastarache.

Tout faux, lorsque nous pensions qu’il faudrait — qu’il suffirait — de déterminer si Jean Charest ou si Marc Bellemare disait vrai.

Or, à les entendre, j’ai acquis la conviction qu’ils cachent tous les deux la vérité. Pourquoi ? L’instinct. Et la pratique du journalisme et de la politique.

Versant Bellemare