John Kennedy et le Québec – une fascinante rencontre

En exclusivité pour les lecteurs du blogue, un extrait de mon ouvrage: La tentation québécoise de John F. Kennedy.

 
Il n’y a pas de politique nationale. Il n’y a de politique que locale.

Thomas «Tip» O’Neil démocrate du Massachusetts

Trois hommes en sursis sont attablés dans l’élégant restaurant du Parker House, le plus chic hôtel de Boston. En sursis de gloire et de célébrité, de tragédie et de scandale. Ils ont pour prénoms Jack, Bob et Ted, ces diminutifs que les Américains portent sans complexe de l’école primaire jusqu’à la Maison-Blanche.

Voir: Les rendements décroissants de Altered Carbon

Avant de me plonger dans la seconde saison d’Altered Carbon, sur Netflix, j’ai revu la première. J’ai été ré-enchanté. La qualité du scénario, des intrigues entrelacées, les questions posées par le prolongement de la vie sont encore plus clairs à la seconde écoute. Le jeu des protagonistes, en particulier de la star mexicaine Martha Higadera dans le rôle de la policière pugnace, est éclatant. Cette série est, à mon humble avis, ce qui s’est fait de mieux en SF depuis The Matrix.

Pourquoi Charles de Gaulle se disait-il « bouleversé » par la question québécoise ?

Voici un extrait de mon dernier ouvrage, De Gaulle l’indépendantiste, qui porte sur le trouble intérieur que produit chez le Général la question québécoise.

Chapitre 5 – « Mettre le feu »

« Je n’ai jamais été si bouleversé. »
– De Gaulle, sur le navire
qui le conduit à Québec

Lire: La dent dure d’André Pratte

Trouviez-vous, comme moi, qu’André Pratte avait la dent dure, lorsqu’il était pendant 14 ans éditorialiste en chef du quotidien La Presse ? Dent dure envers les indépendantistes, bien sûr. Mais aussi avec les écolos, parfois avec les citoyens qui se plaignaient, à tort selon lui, du prix de l’essence. Il fut aussi très dur envers les leaders étudiants du printemps érable de 2012.

Plonger au cœur des journées historiques du Québec

Il y a ceux qui veulent la grande saga. Suivre l’aventure depuis le tout premier moment et savourer chaque rebondissement jusqu’au dénouement.

Il y a ceux qui veulent aller à l’essentiel, le juteux, le croustillant, l’historique.

Pour ces derniers, la lecture de Dix journées qui ont fait le Québec s’impose. J’ai lu la version livre de poche, publiée cette année, plutôt que le beau livre, disponible, qui fut un best-seller en 2013.